Lagraphologiesaitquoi

Billet 144 Solfège et graphologie

Arrivée de Marie Jo en compagnie de Cécile.

Marie Jo

Je vous présente Cécile, une amie de longue date qui suit avec passion notre blog lagraphologiesaitquoi. Elle m’a fait part d’une idée originale en relation avec sa profession de musicienne.

Cécile, nous t’écoutons.

Cécile

Dans le billet 141 Le graphologue dit « et de mettre en évidence quelques *inattendus graphologiques* … » sans s’appesantir…

Le graphologue (souriant)

… il est bon d’éveiller la curiosité…

Cécile

Justement je suis curieuse et aime résoudre des énigmes. Je me suis donc mise à émettre des hypothèses et votre technique de superposition d’un calque quadrillé sur la lettre manuscrite, pour mettre en évidence la danse des mots parcourant les lignes, m’a fait penser aux notes de musique sur les portées…

Alex (charmeur)

Waouh ! Ton idée est super, depuis tout à l’heure j’observe la figure accompagnant ce billet 144 et je me dis : quelle idée géniale ! Avec cette méthode, on peut pratiquement reconstituer l’état d’esprit du scripteur au moment où il a écrit.

Le graphologue

J’approuve ce qu’Alex vient de dire.

Pour pousser un peu plus loin l’analogie avec le solfège : Certains e, o, a sont *obstrués* parce que le scripteur a écrit rapidement sans s’attarder à bien former ses lettres. Les voyelles obstruées rappellent les notes noires et les voyelles non obstruées, les notes blanches, indiquant des *temps* différents…

Cécile (avec un grand sourire)

D’autres analogies peuvent être relevées…

Le graphologue

… Cécile, ce sera avec grand plaisir que nous vous recevrons, si pouvez revenir poursuivre ce passionnant entretien.

Pour l’instant il est temps de s’arrêter !

Cécile

J’accepte bien volontiers votre invitation…

Le graphologue

… A suivre...